
Le rassemblement, annoncé pour ce vendredi après midi par le mouvement "Gno Lank" n'a pas pu se tenir en raison de l'intervention musclée des forces de police.
Comme annoncé par dakarposte, les protestataires cherchaient surtout à défier le pouvoir, car il était évident que les autorités Sénégalaises, par l'entremise du Préfet de Dakar, n'auraient pas laissé une manifestation se dérouler en plein cœur de la capitale. Précisément sur la très sensible Place de l'Indépendance située à un jet de pierre du Palais Présidentiel.
Le raz-de-marée annoncé n’a pas eu lieu en raison des mesures de sécurité draconiennes instaurées par le pouvoir en place. "Du jamais vu" 'nous souffle un des radars de dakarposte, allusion faite au dispositif sécuritaire mis en place depuis la veille.
Partout à Dakar, il y'avait des check point de la police, bref la couleur des uniformes des policiers avaient envahi les rues de la capitale particulièrement le périmètre de la Place de l'Indépendance.
Un dispositif policier qui a fonctionné. En effet, il était quasi impossible de passer entre les mailles des limiers (dont la plupart s'est déguisée avant de s'infiltrer dans les rares attroupements des protestataires) et, aux dernières nouvelles seules quelques personnes pour ne pas dire deux pelés trois tondus ont participé à la manifestation de protestation.
Un jeu d'enfant serait-on tenté de dire pour le tout nouveau commissaire central de Dakar, Elhaj Cheikh Dramé. Qui, ayant blanchi sous le harnais, était dans une bonne position pour réussir à maitriser les troubles à l'ordre public.
"Notre boss (ndlr: commissaire Dramé) a toujours su gérer les manifestations. Vendredi dernier, il était d'ailleurs là parmi ses éléments" nous souffle un agent de police.
Comme annoncé par dakarposte, les protestataires cherchaient surtout à défier le pouvoir, car il était évident que les autorités Sénégalaises, par l'entremise du Préfet de Dakar, n'auraient pas laissé une manifestation se dérouler en plein cœur de la capitale. Précisément sur la très sensible Place de l'Indépendance située à un jet de pierre du Palais Présidentiel.
Le raz-de-marée annoncé n’a pas eu lieu en raison des mesures de sécurité draconiennes instaurées par le pouvoir en place. "Du jamais vu" 'nous souffle un des radars de dakarposte, allusion faite au dispositif sécuritaire mis en place depuis la veille.
Partout à Dakar, il y'avait des check point de la police, bref la couleur des uniformes des policiers avaient envahi les rues de la capitale particulièrement le périmètre de la Place de l'Indépendance.
Un dispositif policier qui a fonctionné. En effet, il était quasi impossible de passer entre les mailles des limiers (dont la plupart s'est déguisée avant de s'infiltrer dans les rares attroupements des protestataires) et, aux dernières nouvelles seules quelques personnes pour ne pas dire deux pelés trois tondus ont participé à la manifestation de protestation.
Un jeu d'enfant serait-on tenté de dire pour le tout nouveau commissaire central de Dakar, Elhaj Cheikh Dramé. Qui, ayant blanchi sous le harnais, était dans une bonne position pour réussir à maitriser les troubles à l'ordre public.
"Notre boss (ndlr: commissaire Dramé) a toujours su gérer les manifestations. Vendredi dernier, il était d'ailleurs là parmi ses éléments" nous souffle un agent de police.