
C’est de sa résidence de Versailles que le Président Wade a lancé l’assaut. Quoi que puissent en penser ses adversaires qui glosent sur son âge canonique, l’ancien président de la République est resté égal à lui-même : lucide, serein, un brin sarcastique mais toujours aussi combatif.
Le vieillard que ses détracteurs présentent comme un grabataire conserve encore sa pugnacité. C’est toujours lui qui mène les débats et tout le jeu politique en cette veille d’élections législatives tournera autour de sa personne.
En une seule apparition sur les écrans de télévision il a réussi à éclipser le phénomène Khalifa Sall et redorer le blason de son fils, Karim Wade.
Et du même coup, il remet le Pds sur le cap alors qu’en son absence, le bâtiment libéral a failli perdre le nord sous la direction d’un second qui ne maîtrisait plus le navire. C’est alors que le bateau libéral dérivait et prenait eau de toutes parts que le Commandant Wade a repris la manœuvre, colmaté les brèches et redressé la barre. Si bien qu’aujourd’hui, c’est la coalition gagnante Wattu Sénégal qui est sur la ligne de mire de Macky Sall et de ses alliés qui redoutent son ordre d’abordage. Car Abdoulaye Wade fait peur.
Loin d’être un épouvantail comme certains ont voulu le dépeindre, il apparaît comme un vieil Amiral vêtu de son uniforme d’apparat et paré pour la dernière bataille navale de sa vie.
C’est un adversaire à prendre au sérieux car il a de l’expérience et des alliés, il a des raisons d’engager une bataille et possède des armes offensives pour faire reculer l’adversaire à défaut de le faire abdiquer, il a la capacité de pousser ce dernier jusqu’à ses ultimes retranchements et il a la volonté de le balancer au fond du précipice. Ce n’est pas le Sénégal qui est en danger, ceux qui doivent craindre pour leurs privilèges ce sont bien les adversaires de Wade qui, quoiqu’ils sont au pouvoir se comportent comme des opposants de l’ancien président aujourd’hui dans l’opposition. A l’âge de 92 ans, c’est encore lui qui mène le jeu politique au Sénégal. Et comme disent les Ivoiriens, «y’a pas son deux !» (Il n’y a pas deux personnes comme lui dans le monde).
Le vieillard que ses détracteurs présentent comme un grabataire conserve encore sa pugnacité. C’est toujours lui qui mène les débats et tout le jeu politique en cette veille d’élections législatives tournera autour de sa personne.
En une seule apparition sur les écrans de télévision il a réussi à éclipser le phénomène Khalifa Sall et redorer le blason de son fils, Karim Wade.
Et du même coup, il remet le Pds sur le cap alors qu’en son absence, le bâtiment libéral a failli perdre le nord sous la direction d’un second qui ne maîtrisait plus le navire. C’est alors que le bateau libéral dérivait et prenait eau de toutes parts que le Commandant Wade a repris la manœuvre, colmaté les brèches et redressé la barre. Si bien qu’aujourd’hui, c’est la coalition gagnante Wattu Sénégal qui est sur la ligne de mire de Macky Sall et de ses alliés qui redoutent son ordre d’abordage. Car Abdoulaye Wade fait peur.
Loin d’être un épouvantail comme certains ont voulu le dépeindre, il apparaît comme un vieil Amiral vêtu de son uniforme d’apparat et paré pour la dernière bataille navale de sa vie.
C’est un adversaire à prendre au sérieux car il a de l’expérience et des alliés, il a des raisons d’engager une bataille et possède des armes offensives pour faire reculer l’adversaire à défaut de le faire abdiquer, il a la capacité de pousser ce dernier jusqu’à ses ultimes retranchements et il a la volonté de le balancer au fond du précipice. Ce n’est pas le Sénégal qui est en danger, ceux qui doivent craindre pour leurs privilèges ce sont bien les adversaires de Wade qui, quoiqu’ils sont au pouvoir se comportent comme des opposants de l’ancien président aujourd’hui dans l’opposition. A l’âge de 92 ans, c’est encore lui qui mène le jeu politique au Sénégal. Et comme disent les Ivoiriens, «y’a pas son deux !» (Il n’y a pas deux personnes comme lui dans le monde).