
L’administration aura du pain sur la planche pour l’organisation des législatives. En plus des milliards qu’elle va devoir mobiliser pour confectionner des listes et des bulletins pour chaque liste, elle devra trouver de grandes salles pour au moins une cinquantaine de personnes pour siéger dans un bureau de vote censé recevoir les 47 représentants de partis et coalitions, 1 président, 1 assesseur, 1 secrétaire, 1 représentant de la CENA. De quoi faire dire à nos confrères de L'as que la démocratie sénégalaise a vraiment besoin d’être régulée.