Cette nouvelle poursuite, révélée par Mediapart, est la quatrième dans ce dossier pour Nicolas Sarkozy, qui s'était dit victime d'un « complot » après les inculpations prononcées en mars 2018 pour « corruption passive », « recel de détournement de fonds publics » et « financement illégal de campagne ». L'ancien président a immédiatement réagi sur Facebook en estimant son « innocence bafouée ». 
   
   
« Chacun voit bien qu'il s'agit d'une décision sans précédent en cohérence avec les investigation réalisées. La procédure suit son cours » a pour sa part réagi Me Vincent Brengarth, l'avocat de l'association anti-corruption Sherpa partie civile dans ce dossier.
   
   
    
   
   
Le 31 janvier, les magistrats avaient mis en examen pour « association de malfaiteurs » l'un de ses anciens collaborateurs, Thierry Gaubert, soupçonné d'avoir touché des fonds provenant du régime libyen de Kadhafi qui auraient pu alimenter la campagne de Nicolas Sarkozy.
			 « Chacun voit bien qu'il s'agit d'une décision sans précédent en cohérence avec les investigation réalisées. La procédure suit son cours » a pour sa part réagi Me Vincent Brengarth, l'avocat de l'association anti-corruption Sherpa partie civile dans ce dossier.
Le 31 janvier, les magistrats avaient mis en examen pour « association de malfaiteurs » l'un de ses anciens collaborateurs, Thierry Gaubert, soupçonné d'avoir touché des fonds provenant du régime libyen de Kadhafi qui auraient pu alimenter la campagne de Nicolas Sarkozy.


 
				 Nicolas Sarkozy inculpé pour "association de malfaiteurs" sur...
			 

