
Dans certaines agences de voyages visitées hier, vendredi 13 mars, les voyagistes disent se plier à la décision du gouvernement qui a décidé de suspendre les opérations préparatoires liées au pèlerinage à La Mecque même cela va leur occasionné des pertes. Pour cause, disent les voyagistes, «ils avaient déjà commencé à enrôler des pèlerins».
«Il y’avait des personnes qui avons déjà payé leurs chambres d’hôtels à l’Arabie Saoudite pour la Oumra et le pèlerinage jusqu’au mois de Ramadan. Nous avions commencé des démarches pour le pèlerinage. D’ailleurs, nous avions envoyé plus de 10 millions francs CFA à des hôtels qui sont à l’Arabie Saoudite. L’annulation du pèlerinage va occasionner des pertes énormes pour nous les voyagistes et les pèlerins».
Ce sont les propos d’Issa Makalou, gérant de l’agence de voyage, Dabakh Tours au quartier Nord Foire de Dakar qui ne cache pas son inquiétude suite à la décision de suspendre les opérations préparatoires du pèlerinage à La Mecque. Pour lui, les premiers impactés de la mesure sont les voyagistes. Toutefois, il s’en remet à la décision prise par le gouvernement. Car, pour lui, «le covid-19 est dangereux et n’épargne personne». «Mais, on espère que des négociations seront faites pour trouver des solutions afin de minimiser les pertes», laisse entendre Issa Makalou. Même inquiétude aussi pour Madame Niang également gérant de l’agence de voyage Samamar Tours qui avait aussi commencé les opérations d’enrôlement pour le Hajj.
Toutefois, dit-elle, «nous sommes en phase avec les autorités sur la mesure prise du fait de la gravité de la maladie et notre agence est prête à rembourser aux clients leur argent». «Certaines personnes ont déjà appelé pour annuler les réservations tandis que d’autres ont préféré les garder pour l’année prochaine», nous fait savoir Madame Niang. Pour la gérante d’une autre agence de voyage trouvée au quartier Baobab du nom de Madame Seck, «notre travail est en stand-by depuis que le covid-19 a commencé à faire des ravages dans le monde, et que certaines compagnies aériennes ont suspendu certains vols dans certains pays». «Avant même que l’Arabie Saoudite ne prenne cette décision, notre travail était au ralenti, personne ne fait des réservations depuis presque 2 semaines», déplore-t'elle
sudquotidien
«Il y’avait des personnes qui avons déjà payé leurs chambres d’hôtels à l’Arabie Saoudite pour la Oumra et le pèlerinage jusqu’au mois de Ramadan. Nous avions commencé des démarches pour le pèlerinage. D’ailleurs, nous avions envoyé plus de 10 millions francs CFA à des hôtels qui sont à l’Arabie Saoudite. L’annulation du pèlerinage va occasionner des pertes énormes pour nous les voyagistes et les pèlerins».
Ce sont les propos d’Issa Makalou, gérant de l’agence de voyage, Dabakh Tours au quartier Nord Foire de Dakar qui ne cache pas son inquiétude suite à la décision de suspendre les opérations préparatoires du pèlerinage à La Mecque. Pour lui, les premiers impactés de la mesure sont les voyagistes. Toutefois, il s’en remet à la décision prise par le gouvernement. Car, pour lui, «le covid-19 est dangereux et n’épargne personne». «Mais, on espère que des négociations seront faites pour trouver des solutions afin de minimiser les pertes», laisse entendre Issa Makalou. Même inquiétude aussi pour Madame Niang également gérant de l’agence de voyage Samamar Tours qui avait aussi commencé les opérations d’enrôlement pour le Hajj.
Toutefois, dit-elle, «nous sommes en phase avec les autorités sur la mesure prise du fait de la gravité de la maladie et notre agence est prête à rembourser aux clients leur argent». «Certaines personnes ont déjà appelé pour annuler les réservations tandis que d’autres ont préféré les garder pour l’année prochaine», nous fait savoir Madame Niang. Pour la gérante d’une autre agence de voyage trouvée au quartier Baobab du nom de Madame Seck, «notre travail est en stand-by depuis que le covid-19 a commencé à faire des ravages dans le monde, et que certaines compagnies aériennes ont suspendu certains vols dans certains pays». «Avant même que l’Arabie Saoudite ne prenne cette décision, notre travail était au ralenti, personne ne fait des réservations depuis presque 2 semaines», déplore-t'elle
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