
Important fric-frac dans les beaux quartiers de la capitale. L’appartement du marchand d’art, Thierry H., a été cambriolé, ce dimanche à Paris (VIIe), par un ou des mystérieux monte-en-l’air. Les voleurs se seraient emparés de montres, de bijoux et d’objets de luxe pour un préjudice approximativement évalué entre trois et six millions d’euros.
C’est vers 18h15, rue de Bellechasse, que le gardien de cet immeuble cossu prévient les forces de l’ordre. Il signale qu’un logement, situé au premier étage, vient d’être cambriolé. « Il explique qu’il a prévenu le propriétaire qui est en route pour accueillir les policiers et leur préciser ce qui lui a été dérobé », raconte une source proche de l’affaire. Une patrouille se rend sur place et constate que la porte d’entrée a été forcée. Les fonctionnaires gardent les lieux en attendant l’arrivée de l’équipe judiciaire. Thierry H. les rejoint entre-temps et confirme qu’on lui a dérobé de nombreux objets de valeur, parmi lesquels des montres et des bijoux.
Le système d’alarme était débranché
Les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme sont chargés de mener la suite des investigations. Les techniciens de la police scientifique ont relevé les empreintes dans l’appartement qui n’est pas équipé de vidéosurveillance. « Il n’y avait pas de coffre-fort, constate une fonctionnaire et le système d’alarme était désactivé. » La suite des investigations devra permettre d’identifier le ou les malfaiteurs et déterminer si la victime était ciblée ou s’ils ont frappé au hasard.
Thierry H. est un marchand d’arts dont la réputation a un peu dépassé celle des professionnels du secteur. Son nom est apparu dans une enquête judiciaire ouverte fin 2015 à Genève. Il était soupçonné de collaborer avec Yves Bouvier, un homme d’affaires suisse qui surfacturait la vente de toiles de grands maîtres à un oligarque russe. Thierry H. aurait lui aussi vendu une quarantaine de tableaux à Vladimir S. qui avait déposé une plainte pour escroquerie.
C’est vers 18h15, rue de Bellechasse, que le gardien de cet immeuble cossu prévient les forces de l’ordre. Il signale qu’un logement, situé au premier étage, vient d’être cambriolé. « Il explique qu’il a prévenu le propriétaire qui est en route pour accueillir les policiers et leur préciser ce qui lui a été dérobé », raconte une source proche de l’affaire. Une patrouille se rend sur place et constate que la porte d’entrée a été forcée. Les fonctionnaires gardent les lieux en attendant l’arrivée de l’équipe judiciaire. Thierry H. les rejoint entre-temps et confirme qu’on lui a dérobé de nombreux objets de valeur, parmi lesquels des montres et des bijoux.
Le système d’alarme était débranché
Les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme sont chargés de mener la suite des investigations. Les techniciens de la police scientifique ont relevé les empreintes dans l’appartement qui n’est pas équipé de vidéosurveillance. « Il n’y avait pas de coffre-fort, constate une fonctionnaire et le système d’alarme était désactivé. » La suite des investigations devra permettre d’identifier le ou les malfaiteurs et déterminer si la victime était ciblée ou s’ils ont frappé au hasard.
Thierry H. est un marchand d’arts dont la réputation a un peu dépassé celle des professionnels du secteur. Son nom est apparu dans une enquête judiciaire ouverte fin 2015 à Genève. Il était soupçonné de collaborer avec Yves Bouvier, un homme d’affaires suisse qui surfacturait la vente de toiles de grands maîtres à un oligarque russe. Thierry H. aurait lui aussi vendu une quarantaine de tableaux à Vladimir S. qui avait déposé une plainte pour escroquerie.