Un rendez-vous centré sur la « diplomatie commerciale » mais aussi sur les questions de sécurité, comme le trafic de drogue. La Maison Blanche a confirmé, ce mercredi 2 juillet à l’agence de presse britannique Reuters, sa volonté d’organiser un sommet réunissant cinq pays africains du 9 au 11 juillet. Une information révélée auparavant par les médias Africa Intelligence et Semafor.
Des invitations ont été lancées aux dirigeants de ces pays pour cette réunion à laquelle Donald Trump devrait prendre part. Le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Libérien Joseph Boakai, le Gabonais Brice Clotaire Oligui Nguema, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani ainsi que le Bissau-Guinéen Umaro Sissoco Embaló sont donc attendus aux États-Unis la semaine prochaine.
La question des minerais au cœur des discussions
Après avoir annoncé des coupes dans ses dépenses et aides apportés au continent africain, l’administration américaine a affirmé vouloir se concentrer sur le commerce et l’investissement et « favoriser la prospérité mutuelle et la capacité et la volonté de s’aider eux-mêmes ».
Le 20 mai, le responsable du département d’État américain pour l’Afrique avait déjà déclaré qu’un important accord commercial entre les États-Unis et l’Afrique, actuellement en suspens, devra probablement intégrer davantage de « réciprocité » pour être renouvelé.
Fin juin, des entreprises américaines se sont engagées à investir dans plusieurs projets d’infrastructures en Afrique, lors d’un sommet qui a été l’occasion pour Washington de défendre les investissements privés plutôt que l’aide publique.
Ces accords ont été conclus lors d’un sommet économique réunissant des dirigeants africains et des représentants du gouvernement américain et du secteur privé, qui s’est clôturé mercredi à Luanda, a indiqué l’ambassade des Etats-Unis en Angola dans un communiqué publié le 26 juin.
« Les fondements détruits »: Jeff Hawkins fait le constat d’une rupture sans précédent entre les États-Unis et l’Afrique
Des entreprises américaines se sont engagées à investir dans plusieurs projets d’infrastructures en Afrique, lors d’un sommet qui a été l’occasion pour Washington de défendre les investissements privés plutôt que l’aide publique, ont annoncé jeudi les autorités américaines.
Ces accords ont été conclus lors d’un sommet économique réunissant des dirigeants africains et des représentants du gouvernement américain et du secteur privé, qui s’est clôturé mercredi à Luanda, a indiqué l’ambassade des États-Unis en Angola dans un communiqué.
D’autres collaborations sont prévues, notamment le renforcement des infrastructures numériques et de la cybersécurité en Angola, le développement en Sierra Leone du premier terminal de GNL d’Afrique de l’Ouest destiné au transport de GNL américain, et une participation américaine dans un projet hydroélectrique concernant le Rwanda et la RDC.
« L’administration Trump considère ce moment comme une opportunité d’approfondir notre engagement dans le paysage économique africain », a déclaré Massad Boulos, conseiller principal du président américain pour l’Afrique, lors de la réunion, selon le communiqué.
Reste à savoir si la question de l’interdiction d’entrée sur le territoire américain aux ressortissants de 25 pays africains, dont le Sénégal, sera évoquée lors de ces échanges
rewmi
Des invitations ont été lancées aux dirigeants de ces pays pour cette réunion à laquelle Donald Trump devrait prendre part. Le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Libérien Joseph Boakai, le Gabonais Brice Clotaire Oligui Nguema, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani ainsi que le Bissau-Guinéen Umaro Sissoco Embaló sont donc attendus aux États-Unis la semaine prochaine.
La question des minerais au cœur des discussions
Après avoir annoncé des coupes dans ses dépenses et aides apportés au continent africain, l’administration américaine a affirmé vouloir se concentrer sur le commerce et l’investissement et « favoriser la prospérité mutuelle et la capacité et la volonté de s’aider eux-mêmes ».
Le 20 mai, le responsable du département d’État américain pour l’Afrique avait déjà déclaré qu’un important accord commercial entre les États-Unis et l’Afrique, actuellement en suspens, devra probablement intégrer davantage de « réciprocité » pour être renouvelé.
Fin juin, des entreprises américaines se sont engagées à investir dans plusieurs projets d’infrastructures en Afrique, lors d’un sommet qui a été l’occasion pour Washington de défendre les investissements privés plutôt que l’aide publique.
Ces accords ont été conclus lors d’un sommet économique réunissant des dirigeants africains et des représentants du gouvernement américain et du secteur privé, qui s’est clôturé mercredi à Luanda, a indiqué l’ambassade des Etats-Unis en Angola dans un communiqué publié le 26 juin.
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Ces accords ont été conclus lors d’un sommet économique réunissant des dirigeants africains et des représentants du gouvernement américain et du secteur privé, qui s’est clôturé mercredi à Luanda, a indiqué l’ambassade des États-Unis en Angola dans un communiqué.
D’autres collaborations sont prévues, notamment le renforcement des infrastructures numériques et de la cybersécurité en Angola, le développement en Sierra Leone du premier terminal de GNL d’Afrique de l’Ouest destiné au transport de GNL américain, et une participation américaine dans un projet hydroélectrique concernant le Rwanda et la RDC.
« L’administration Trump considère ce moment comme une opportunité d’approfondir notre engagement dans le paysage économique africain », a déclaré Massad Boulos, conseiller principal du président américain pour l’Afrique, lors de la réunion, selon le communiqué.
Reste à savoir si la question de l’interdiction d’entrée sur le territoire américain aux ressortissants de 25 pays africains, dont le Sénégal, sera évoquée lors de ces échanges
rewmi