«Le traitement de la question de la dette mérite une attention particulière », a souligné, ce lundi le Président Bassirou Diomaye Faye à Séville. Pour lui, la question une priorité élevée en raison de l’impact écrasant du poids de la dette sur nos économies.
Raison pour laquelle, le successeur de Macky Sall a souligné que «le Sénégal appelle à une révision des critères de notation des agences d’évaluation dont les méthodes et les pratiques renchérissent considérablement les conditions d’accès au crédit et de remboursement.»
Pour le chef de l’Etat sénégalais, il faut convenir de mécanismes de restructuration plus justes, plus déligentes et plus prévisibles avec des clauses de suspension automatiques en cas de choc.
Le chef de l’Etat a aussi plaidé pour une gouvernance mondiale plus inclusive et équitable, avec une participation plus conséquente des pays du Sud dans le processus décisionnel des instructions de Bretton Woods, notamment le Fmi et la Banque mondiale.
Il est impératif, souligne le Pr. Faye, de poursuivre le travail de réforme de la fiscalité internationale. Ce, pour lutter plus efficacement contre l’évasion fiscale et les flux financiers illicites. Aussi, il a appelé à renforcer la transparence et s’assurer que l’impôt soit acquittée là où la richesse est créée, c’est-à-dire là où les compagnies mènent leurs activités et tirent leur profit.
Igfm
Raison pour laquelle, le successeur de Macky Sall a souligné que «le Sénégal appelle à une révision des critères de notation des agences d’évaluation dont les méthodes et les pratiques renchérissent considérablement les conditions d’accès au crédit et de remboursement.»
Pour le chef de l’Etat sénégalais, il faut convenir de mécanismes de restructuration plus justes, plus déligentes et plus prévisibles avec des clauses de suspension automatiques en cas de choc.
Le chef de l’Etat a aussi plaidé pour une gouvernance mondiale plus inclusive et équitable, avec une participation plus conséquente des pays du Sud dans le processus décisionnel des instructions de Bretton Woods, notamment le Fmi et la Banque mondiale.
Il est impératif, souligne le Pr. Faye, de poursuivre le travail de réforme de la fiscalité internationale. Ce, pour lutter plus efficacement contre l’évasion fiscale et les flux financiers illicites. Aussi, il a appelé à renforcer la transparence et s’assurer que l’impôt soit acquittée là où la richesse est créée, c’est-à-dire là où les compagnies mènent leurs activités et tirent leur profit.
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