
Décidément, les démonstrations du FC Barcelone face au Real Madrid s'additionnent dans cette saison 2024-2025. Après le premier Clasico de la saison remporté 4-0 au Santiago-Bernabéu en octobre dernier, les Catalans ont remis le couvert dimanche soir lors d'une finale Supercoupe d’Espagne spectaculaire (5-2), à Djeddah.
Sur la pelouse du stade du Roi-Abdallah, le Barça a concédé l’ouverture du score par Kylian Mbappé mais n'a jamais cessé de produire une magnifique prestation collective. Avec quatre buts inscrits en première période, les hommes d’Hansi Flick ont mis fin au suspense dans un stade estomaqué par la performance barcelonaise face à son rival historique. Conquérant, le Barça récolte ainsi son quinzième trophée dans la compétition, un record.
Ce n'est une surprise pour personne, mais c'est toujours bon de le rappeler : quand le Real Madrid et le FC Barcelone se rencontrent, cela fait des étincelles. Logiquement, cette finale de la Supercoupe d'Espagne n'a pas fait exception à la règle et le football en est clairement sorti grandi. De la première à la dernière minute de la partie, les deux équipes ont cherché, chacune à leur manière, à produire du jeu offensif. En fin de compte, cela fait sept buts inscrits et une nouvelle déculottée pour le Real Madrid, pourtant champion d'Espagne et d'Europe en titre.
Mbappé en soliste, le Barça en équipe
Dès le début du match, le Barça a ouvert le jeu pour se projeter avec fougue vers le but madrilène. Toutefois, les Blancos sont parvenus à marquer en premier grâce à Mbappé d'une frappe croisée pour tromper Wojciech Szczesny (5e, 1-0). Devant au score, le Real pensait mettre un coup d'arrêt aux intentions du collectif blaugrana. En réalité, cela n'a fait que mettre le feu aux poudres. Lancé par Robert Lewandowski, Lamine Yamal a dribblé Aurélien Tchouameni pour battre Thibaut Courtois tout en finesse (22e, 1-1). Si l'international français a cherché à se racheter dans la foulée avec un tête détournée par Szczesny (25e), le Barça a définitivement mis la main sur le match suite à un penalty obtenu par Gavi et transformé par l'inévitable Robert Lewandowski (36e, 1-2).
À partir de ce moment-là, le Real est entré dans une spirale infernale. Excellent sur son côté droit, Jules Koundé a adressé un centre parfait dans la course de Raphinha pour le but du break (39e, 1-3). Désireux de revenir avant la pause, les Merengue se sont trop livrés et sur un dernier contre avant d'aller souffler quinze minutes aux vestiaires, Alejandro Baldé a inscrit un quatrième but dans le temps additionnel (45e, 1-4). Quatre buts marqués par le Barça en première période face au Real Madrid, ce n'était plus arrivé depuis le 10 janvier 1943. Une date suffisante pour marquer au fer rouge cette rencontre, et constater la gestion barcelonaise en deuxième période. Auteur d'un doublé, Raphinha a corsé l'addition (48e, 1-5). Sans l'exclusion de Szczesny pour une faute en dernier défenseur sur Mbappé (57e) et la réduction de l'écart de Rodrygo dans la foulée (60e), l'humiliation aurait pu être encore plus grande pour la Maison Blanche, dépassée par un Barça impressionnant de panache.
Sur la pelouse du stade du Roi-Abdallah, le Barça a concédé l’ouverture du score par Kylian Mbappé mais n'a jamais cessé de produire une magnifique prestation collective. Avec quatre buts inscrits en première période, les hommes d’Hansi Flick ont mis fin au suspense dans un stade estomaqué par la performance barcelonaise face à son rival historique. Conquérant, le Barça récolte ainsi son quinzième trophée dans la compétition, un record.
Ce n'est une surprise pour personne, mais c'est toujours bon de le rappeler : quand le Real Madrid et le FC Barcelone se rencontrent, cela fait des étincelles. Logiquement, cette finale de la Supercoupe d'Espagne n'a pas fait exception à la règle et le football en est clairement sorti grandi. De la première à la dernière minute de la partie, les deux équipes ont cherché, chacune à leur manière, à produire du jeu offensif. En fin de compte, cela fait sept buts inscrits et une nouvelle déculottée pour le Real Madrid, pourtant champion d'Espagne et d'Europe en titre.
Mbappé en soliste, le Barça en équipe
Dès le début du match, le Barça a ouvert le jeu pour se projeter avec fougue vers le but madrilène. Toutefois, les Blancos sont parvenus à marquer en premier grâce à Mbappé d'une frappe croisée pour tromper Wojciech Szczesny (5e, 1-0). Devant au score, le Real pensait mettre un coup d'arrêt aux intentions du collectif blaugrana. En réalité, cela n'a fait que mettre le feu aux poudres. Lancé par Robert Lewandowski, Lamine Yamal a dribblé Aurélien Tchouameni pour battre Thibaut Courtois tout en finesse (22e, 1-1). Si l'international français a cherché à se racheter dans la foulée avec un tête détournée par Szczesny (25e), le Barça a définitivement mis la main sur le match suite à un penalty obtenu par Gavi et transformé par l'inévitable Robert Lewandowski (36e, 1-2).
À partir de ce moment-là, le Real est entré dans une spirale infernale. Excellent sur son côté droit, Jules Koundé a adressé un centre parfait dans la course de Raphinha pour le but du break (39e, 1-3). Désireux de revenir avant la pause, les Merengue se sont trop livrés et sur un dernier contre avant d'aller souffler quinze minutes aux vestiaires, Alejandro Baldé a inscrit un quatrième but dans le temps additionnel (45e, 1-4). Quatre buts marqués par le Barça en première période face au Real Madrid, ce n'était plus arrivé depuis le 10 janvier 1943. Une date suffisante pour marquer au fer rouge cette rencontre, et constater la gestion barcelonaise en deuxième période. Auteur d'un doublé, Raphinha a corsé l'addition (48e, 1-5). Sans l'exclusion de Szczesny pour une faute en dernier défenseur sur Mbappé (57e) et la réduction de l'écart de Rodrygo dans la foulée (60e), l'humiliation aurait pu être encore plus grande pour la Maison Blanche, dépassée par un Barça impressionnant de panache.