À leur grande surprise, avant d'avoir une quelconque explication venant de lui, ils ont aperçu dans ses bagages 20 cartouches d'imprimante. Selon nos informations, les gendarmes lui ont demandé d’où venait ce matériel, surtout à cette heure tardive de la nuit. Il a déclaré devant les gendarmes que ces cartouches lui appartenaient. Il a été interpelé.
Selon nos interlocuteurs, dans le cadre de cette affaire, le patron de la Direction de l'Administration générale et de l'Équipement (Dage) du ministère de l'Emploi, de la Formation professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Insertion, a été entendu.
Il a confié aux enquêteurs, selon nos sources, que les cartouches d'imprimante trouvées par-devers le mis en cause, appartiennent au ministère. Ainsi, il a été placé en garde-à-vue. Auditionné à nouveau, il a campé sur sa position.
D'après toujours nos interlocuteurs, alors que les pandores en charge de ce dossier étaient en train de terminer les auditions pour le déférer au parquet, pour les faits d'abus de confiance et vol dans un lieu public, ils ont reçu comme instruction venant d"en haut lieu, de le libérer. Nos sources n'ont pas voulu nous donner plus de détails sur les raisons et les auteurs de cette pression qui ont abouti à la libération du mis en cause
Selon nos interlocuteurs, dans le cadre de cette affaire, le patron de la Direction de l'Administration générale et de l'Équipement (Dage) du ministère de l'Emploi, de la Formation professionnelle, de l'Apprentissage et de l'Insertion, a été entendu.
Il a confié aux enquêteurs, selon nos sources, que les cartouches d'imprimante trouvées par-devers le mis en cause, appartiennent au ministère. Ainsi, il a été placé en garde-à-vue. Auditionné à nouveau, il a campé sur sa position.
D'après toujours nos interlocuteurs, alors que les pandores en charge de ce dossier étaient en train de terminer les auditions pour le déférer au parquet, pour les faits d'abus de confiance et vol dans un lieu public, ils ont reçu comme instruction venant d"en haut lieu, de le libérer. Nos sources n'ont pas voulu nous donner plus de détails sur les raisons et les auteurs de cette pression qui ont abouti à la libération du mis en cause