La leçon à tirer de ces élections législatives, c'est que le projet de troisième mandat du Président Macky Sall tombe à l'eau. Il ne doit plus en parler, s'il veut sortir par la grande porte. Et tout son entourage doit l'inciter à y renoncer. Pour son bien et celui du peuple. Ces élections sont comme un référendum. Il y a deux coalitions majeures Benno Bokk Yakaar et Yewwi Askan Wi», lit-on dans "L’Observateur" de ce lundi, rapporte iGFM.
Il poursuit : «Le peuple a lancé un message à Macky Sall comme quoi, il ne veut plus de lui. La vie est chère, les jeunes sont confrontés au problème de l'emploi. Et ça, depuis les élections locales. Mais il (Macky Sall) était trop concentré sur sa situation personnelle, comme le fait de récupérer les maires des autres coalitions que de répondre à l'appel du peuple. Félicitations à la coalition Aar Sénégal. Je les félicite et les remercie pour leur confiance.
Notre défaite est due à plusieurs raisons. Nous sommes une nouvelle coalition qui n'est pas trop connue. L'aspect référendaire a un caractère assez déterminant dans ces élections. Sans compter les coups venant des deux partis majeurs. Le parti au pouvoir a déployé beaucoup de fonds pour faire transférer nos militants dans d'autres lieux de vote. Récemment la sortie du leader de Pastef n'était pas à notre faveur. C'est vraiment déloyal de colporter des ragots sur le dos de quelqu'un, juste pour une guerre de positionnement».
Il poursuit : «Le peuple a lancé un message à Macky Sall comme quoi, il ne veut plus de lui. La vie est chère, les jeunes sont confrontés au problème de l'emploi. Et ça, depuis les élections locales. Mais il (Macky Sall) était trop concentré sur sa situation personnelle, comme le fait de récupérer les maires des autres coalitions que de répondre à l'appel du peuple. Félicitations à la coalition Aar Sénégal. Je les félicite et les remercie pour leur confiance.
Notre défaite est due à plusieurs raisons. Nous sommes une nouvelle coalition qui n'est pas trop connue. L'aspect référendaire a un caractère assez déterminant dans ces élections. Sans compter les coups venant des deux partis majeurs. Le parti au pouvoir a déployé beaucoup de fonds pour faire transférer nos militants dans d'autres lieux de vote. Récemment la sortie du leader de Pastef n'était pas à notre faveur. C'est vraiment déloyal de colporter des ragots sur le dos de quelqu'un, juste pour une guerre de positionnement».