"Les dérives de nos gouvernants ne suscitent plus qu’une très faible indignation. Comment comprendre, en effet, qu’en dépit des promesses de rupture visant à réduire drastiquement le train de vie de l’État, le Premier ministre voyage en jet privé vers des pays desservis par des vols commerciaux ?
Le contribuable a le droit de savoir comment les deniers publics sont dépensés par nos autorités. La transparence, la gestion sobre et la bonne gouvernance ne peuvent être de simples slogans politiques. Elles doivent se traduire dans les actes de tous les jours.
Le peuple sénégalais mérite mieux que des pratiques qui rappellent celles que nous avions tous dénoncées et sanctionnées dans un passé récent. Dans un souci de transparence et de cohérence, nous attendons des éclaircissements sur deux points essentiels :
1. Les raisons ayant motivé le recours à un jet privé ;
2. Le coût exact de ce déplacement pour le contribuable.
Le respect des principes que nous avons défendus hier doit rester un impératif catégorique pour un véritable changement."
Igfm
Le contribuable a le droit de savoir comment les deniers publics sont dépensés par nos autorités. La transparence, la gestion sobre et la bonne gouvernance ne peuvent être de simples slogans politiques. Elles doivent se traduire dans les actes de tous les jours.
Le peuple sénégalais mérite mieux que des pratiques qui rappellent celles que nous avions tous dénoncées et sanctionnées dans un passé récent. Dans un souci de transparence et de cohérence, nous attendons des éclaircissements sur deux points essentiels :
1. Les raisons ayant motivé le recours à un jet privé ;
2. Le coût exact de ce déplacement pour le contribuable.
Le respect des principes que nous avons défendus hier doit rester un impératif catégorique pour un véritable changement."
Igfm