Les bourses américaines ont fortement été chahutées ce jeudi. Le Dow Jones, le Nasdaq et le Standard & Poor's 500 ont tout simplement leur pire séance depuis le mois de mars.
Un nouveau plongeon qui survient après que la Fed a annoncé mercredi la baisse de ses taux d'intérêt entre 0% et 0,25% jusqu'en 2022 et des prévisions faisant état d’une chute de 6,5% du PIB cette année aux Etats-Unis.
Le président américain Donald Trump a, lui, renoué avec ses critiques de la Fed, qui prévoit une chute du produit intérieur brut américain de 6,5% en 2020 avant un rebond de 5% l'an prochain.
"La Réserve fédérale se trompe si souvent. (...) Nous aurons un très bon troisième trimestre, un excellent quatrième trimestre et l'une de nos meilleures années en 2021", a tweeté jeudi le président américain.
La seconde raison de la dégringolade boursière de jeudi, selon Karl Haeling, responsable de la stratégie marchés pour LBBW, "c'est que le marché a décidé de s'intéresser à la hausse des cas de contamination au coronavirus en dehors du nord-est des Etats-Unis".
Alors que les Etats-Unis comptent désormais plus de 113 000 décès liés à la pandémie et plus de 2 millions de personnes infectées, le Texas et la Caroline du Nord ont plus de malades du Covid-19 hospitalisés qu'il y a un mois. L'Arizona montre aussi des signes inquiétants.
Les bourses européennes ont également dévissé de plus de 4% ce jeudi : Paris (-4,71%), Francfort (-4,47%), Londres (-3,99%), Milan (-4,81%) et Madrid (-5,04%). L'Eurostoxx a perdu 4,27%.
Une baisse qui traduit là aussi les inquiétudes fortes concernant la reprise économique après la pandémie de coronavirus et devant des risques de seconde vague.
Un nouveau plongeon qui survient après que la Fed a annoncé mercredi la baisse de ses taux d'intérêt entre 0% et 0,25% jusqu'en 2022 et des prévisions faisant état d’une chute de 6,5% du PIB cette année aux Etats-Unis.
Le président américain Donald Trump a, lui, renoué avec ses critiques de la Fed, qui prévoit une chute du produit intérieur brut américain de 6,5% en 2020 avant un rebond de 5% l'an prochain.
"La Réserve fédérale se trompe si souvent. (...) Nous aurons un très bon troisième trimestre, un excellent quatrième trimestre et l'une de nos meilleures années en 2021", a tweeté jeudi le président américain.
La seconde raison de la dégringolade boursière de jeudi, selon Karl Haeling, responsable de la stratégie marchés pour LBBW, "c'est que le marché a décidé de s'intéresser à la hausse des cas de contamination au coronavirus en dehors du nord-est des Etats-Unis".
Alors que les Etats-Unis comptent désormais plus de 113 000 décès liés à la pandémie et plus de 2 millions de personnes infectées, le Texas et la Caroline du Nord ont plus de malades du Covid-19 hospitalisés qu'il y a un mois. L'Arizona montre aussi des signes inquiétants.
Les bourses européennes ont également dévissé de plus de 4% ce jeudi : Paris (-4,71%), Francfort (-4,47%), Londres (-3,99%), Milan (-4,81%) et Madrid (-5,04%). L'Eurostoxx a perdu 4,27%.
Une baisse qui traduit là aussi les inquiétudes fortes concernant la reprise économique après la pandémie de coronavirus et devant des risques de seconde vague.