Dans cette vidéo à l'actif de nos confrères de Bambey TV, que nous reprenons in extenso , afin que nul n'en ignore, le sieur Youssou Diouf dénonce les excès de violence imputés aux policiers du commissariat urbain de Bambey chargés de faire respecter le couvre-feu entré en vigueur dans la nuit contre le coronavirus.
Joint par dakarposte aux fins de recueillir sa version des graves accusations à son encontre, l'adjudant Oumar Dogue dira n'avoir rien à dire. "Adressez-vous à la hiérarchie!" a t'il laissé entendre. Sans tarder, nous avons joint son supérieur, le commissaire Balla Fall. Qui, très courtois, a expliqué qu'à chaque fois il ressasse à ses éléments de ne jamais verser dans la violence en distribuant des coups de matraque.
L'officier de police estime que les forces de l’ordre peuvent veiller au respect du couvre-feu dans le respect des droits humains. "C'est d'ailleurs , poursuivra-il, ce que je répète souvent. Pas de tortures, de traitements inhumains et dégradants. Pas d’usage excessif de la force”.
À ses yeux, si une personne est en porte à faux avec la loi, comme tel serait le cas avec ces jeunes Bambeyois, il suffisait juste de les convoquer. "D'ailleurs, c'est ce que je leur ai dit dès lors que ces réfractaires ont été formellement identifiés. Ici, tout le monde se connait. J'ai même rencontré la famille de la victime et suite à notre discussion ils se sont accordés à dire que c'est un incident regrettable. J'ai moi-même pris en charge ses frais médicaux et je croyais que la page est tournée, mais j'ai été étonné de voir cette affaire dans la toile" dira le commissaire. Qui, pour le prendre au mot, n’apprécie pas la répression.
L'homme que nous avons joint prône une approche pédagogique.
Soit, mais, faudrait-il rappeler qu' il ne sert à rien d'aller faire son intéressant en défiant les forces de l'ordre comme il est insensé que celles-là, dérogent au respect des droits humains. C'est dire...
Joint par dakarposte aux fins de recueillir sa version des graves accusations à son encontre, l'adjudant Oumar Dogue dira n'avoir rien à dire. "Adressez-vous à la hiérarchie!" a t'il laissé entendre. Sans tarder, nous avons joint son supérieur, le commissaire Balla Fall. Qui, très courtois, a expliqué qu'à chaque fois il ressasse à ses éléments de ne jamais verser dans la violence en distribuant des coups de matraque.
L'officier de police estime que les forces de l’ordre peuvent veiller au respect du couvre-feu dans le respect des droits humains. "C'est d'ailleurs , poursuivra-il, ce que je répète souvent. Pas de tortures, de traitements inhumains et dégradants. Pas d’usage excessif de la force”.
À ses yeux, si une personne est en porte à faux avec la loi, comme tel serait le cas avec ces jeunes Bambeyois, il suffisait juste de les convoquer. "D'ailleurs, c'est ce que je leur ai dit dès lors que ces réfractaires ont été formellement identifiés. Ici, tout le monde se connait. J'ai même rencontré la famille de la victime et suite à notre discussion ils se sont accordés à dire que c'est un incident regrettable. J'ai moi-même pris en charge ses frais médicaux et je croyais que la page est tournée, mais j'ai été étonné de voir cette affaire dans la toile" dira le commissaire. Qui, pour le prendre au mot, n’apprécie pas la répression.
L'homme que nous avons joint prône une approche pédagogique.
Soit, mais, faudrait-il rappeler qu' il ne sert à rien d'aller faire son intéressant en défiant les forces de l'ordre comme il est insensé que celles-là, dérogent au respect des droits humains. C'est dire...




