
Infrastructures insuffisantes ou inexistantes ou alors hors d’usage, rizières rétrécies, récoltes de noix d’anacarde invendues ou bradées ou dont les revenus à coups de milliards sont sans aucun avantage pour les producteurs…
Les raisons pour les populations de la région de Sédhiou pour avoir le blues sont multiples. Et, elles ne sont pas nouvelles. Face à la pauvreté qui s’installe de plus en plus, les jeunes sont donc victimes de l’émigration clandestine et certains meurent en tentant de traverser la mer.
Naturellement, le principal responsable interpellé, c’est l’Etat.
Aussi l’organisation populaire NAFA a-t-elle décidé de sillonner la région pour sensibiliser les jeunes sur les conséquences d’une émigration irréfléchie et surtout, sur les potentiels que leur offre leur terroir. Les jeunes de Sédhiou ont donc commencé à se prendre en charge, en attendant une hypothétique préoccupation de l’Etat sur leur sort peu enviable.
clounjay@yahoo.fr
Les raisons pour les populations de la région de Sédhiou pour avoir le blues sont multiples. Et, elles ne sont pas nouvelles. Face à la pauvreté qui s’installe de plus en plus, les jeunes sont donc victimes de l’émigration clandestine et certains meurent en tentant de traverser la mer.
Naturellement, le principal responsable interpellé, c’est l’Etat.
Aussi l’organisation populaire NAFA a-t-elle décidé de sillonner la région pour sensibiliser les jeunes sur les conséquences d’une émigration irréfléchie et surtout, sur les potentiels que leur offre leur terroir. Les jeunes de Sédhiou ont donc commencé à se prendre en charge, en attendant une hypothétique préoccupation de l’Etat sur leur sort peu enviable.
clounjay@yahoo.fr