« Nous mettons à disposition de nos clients, lors de leur arrivée, un stérilisateur à ultra-violets, qui leur permet de stériliser leurs effets personnels, explique Delphine Cravotto, directrice du Park Hyatt Paris-Vendôme. Le client dispose son téléphone, on referme, on met en route, et la stérilisation commence pendant trois minutes. »
Des taux de fréquentation qui plafonnent à 30 %
Avec des taux de fréquentation à 20 % ou 30 %, ces établissements de luxe sont donc résignés à tourner à pertes, du moins dans un premier temps. Habituellement, les trois quarts des clients des cinq étoiles parisiens viennent des États-Unis, du Japon, de Chine, du Moyen-Orient, ou encore de Russie. Aujourd'hui, ce sont avant tout les Français qu'il faut attirer, quitte à ouvrir le spa à la clientèle extérieure ou à proposer des surclassements.
« La Belgique est fermée, l'Angleterre est fermée, l'Allemagne est fermée, tous les pays qui sont autour de nous se sont refermés, les pays beaucoup plus loin sont refermés, il y a une quatorzaine pour tout touriste qui arrive de l'étranger en France, résume François Delahaye, directeur général du Plaza Athénée. Il faut donc se mettre sur le marché qu'on connaît bien, à savoir les Français qui aiment l'art de vivre, qui aiment Alain Ducasse, qui aiment le Plaza Athénée, le Meurice, pour relancer cette machine. »
La gastronomie, un atout maître sur lequel misent beaucoup les palaces, dont certains annoncent adapter les menus pour rendre la note un peu moins salée.
Des taux de fréquentation qui plafonnent à 30 %
Avec des taux de fréquentation à 20 % ou 30 %, ces établissements de luxe sont donc résignés à tourner à pertes, du moins dans un premier temps. Habituellement, les trois quarts des clients des cinq étoiles parisiens viennent des États-Unis, du Japon, de Chine, du Moyen-Orient, ou encore de Russie. Aujourd'hui, ce sont avant tout les Français qu'il faut attirer, quitte à ouvrir le spa à la clientèle extérieure ou à proposer des surclassements.
« La Belgique est fermée, l'Angleterre est fermée, l'Allemagne est fermée, tous les pays qui sont autour de nous se sont refermés, les pays beaucoup plus loin sont refermés, il y a une quatorzaine pour tout touriste qui arrive de l'étranger en France, résume François Delahaye, directeur général du Plaza Athénée. Il faut donc se mettre sur le marché qu'on connaît bien, à savoir les Français qui aiment l'art de vivre, qui aiment Alain Ducasse, qui aiment le Plaza Athénée, le Meurice, pour relancer cette machine. »
La gastronomie, un atout maître sur lequel misent beaucoup les palaces, dont certains annoncent adapter les menus pour rendre la note un peu moins salée.