Seneweb a appris qu'Abdoulaye Thiam de Computer land, sa société la plus connue, a bénéficié d'un marché de gré à gré de 41 milliards de Fcfa pour, soi-disant, réaliser des Espaces numériques ouverts (Eno). Mais depuis que le marché lui a été accordé, la livraison tarde à se faire. Ce qui n'est pas surprenant si on sait que ce sulfureux homme d'affaires, jadis proche d'Abdoulaye Wade qui lui avait accordé un marché polémique à l'Agence de l'informatique de l'État (Adie) n'en n'est pas à son premier coup.
Comme le révélait Libération, en décembre 2018, le projet de construction et de l'exploitation d'une usine d'assemblage de matériel informatique avait été lancé en grandes pompes à Technopole. Un marché que devait exécuter la Société africaine des technologies de l'informatique (Sati) contrôlée aussi par Abdoulaye Thiam qu'on dit proche de la Première dame. D'ailleurs, Sati assurait à l'époque, que ses premiers smartphones, seraient sur le marché "dans 9 mois".
Mieux, le projet, dont le coût est estimé à 10 milliards de Fcfa, allait créer "10.000 emplois directs et indirects", chantait Sati. Mais, à ce jour, seule la première pierre, posée à l'époque, est encore sur le site.
Comme le révélait Libération, en décembre 2018, le projet de construction et de l'exploitation d'une usine d'assemblage de matériel informatique avait été lancé en grandes pompes à Technopole. Un marché que devait exécuter la Société africaine des technologies de l'informatique (Sati) contrôlée aussi par Abdoulaye Thiam qu'on dit proche de la Première dame. D'ailleurs, Sati assurait à l'époque, que ses premiers smartphones, seraient sur le marché "dans 9 mois".
Mieux, le projet, dont le coût est estimé à 10 milliards de Fcfa, allait créer "10.000 emplois directs et indirects", chantait Sati. Mais, à ce jour, seule la première pierre, posée à l'époque, est encore sur le site.