
Que n'a t'on lu ou entendu sur le crime odieux du vieux Assane Seck, âgé de 71 ans, atrocement décapité qui a eu lieu dans un village sis entre Pire et Tivaoune?
Des informations fiables en possession de dakarposte, il ressort qu'aussitôt que l'alerte de ce meurtre a été donnée ,toutes les autorités particulièrement judiciaires ont été prévenues. C'est ainsi que le procureur de la République a saisi la redoutée mais redoutable Section Recherches de la gendarmerie sise à Colobane aux fins de se rendre sur les lieux du crime pour les besoins de l'enquête. Sans tarder, les pandores se rendent sirènes hurlantes au village du défunt Assane Seck.
Du coup, les enquêteurs démarrent la procédure. Ils savent que le moindre détail compte. Ils fouinent un peu partout, entendent presque tout le village du défunt.
Le démembrement technique des pandores photographie tout, du général au particulier. De là où s'est déroulée la scène du crime, jusqu'aux détails des plaies sur le corps inanimé. Sans rien toucher. Ce travail est minutieux. Il permettra de savoir avec précision à quel emplacement chaque indice a été prélevé. Ces clichés sont ensuite réunis dans un album, mis à la disposition des plus hautes autorités, de la justice.
Simultanément, une autre équipe des enquêteurs de la SR traquent les indices. Fouillent chaque recoin aux alentours. Recueillent l'identité des témoins sur les lieux. Les témoins principaux sont entendus à chaud, pour éviter des déperditions d'informations. Ils seront entendus une deuxième fois plus tard, comme les autres témoins, dans leur Quartier Général aménagé pour la circonstance dans le village.
Des informations glanées par les radars de dakarposte activés sur cette affaire, nous tenons que plusieurs personnes sont entre les mains des enquêteurs. dont la veuve.
Et l'enquête menée de mains de maitre par la Section Recherches de la gendarmerie avance à grands pas. D'ailleurs, elle sera bouclée ce dimanche. Le maitre des poursuites (entendez le Procureur de la République) est informé en temps réel.
D'ailleurs, le pandore désigné directeur d'enquête a déjà fait les premières constatations. Après la reconstitution des faits avec le présumé meurtrier (Gora Seck, un fils du défunt), il a , nous souffle t'on, fini de rédiger un procès-verbal très long, très détaillé, pour figer la chronologie des faits et l'environnement des lieux du drame. Bref, il a fini de croiser tous les éléments recueillis par chaque gendarme . Sa connaissance intégrale du dossier, nourrie en temps réel, lui a, nous apprend-on, permis de rassembler les morceaux du puzzle.
Il revient à dakarposte que les éléments de la SR ont fouillé le domicile de la victime, éplucher entre autres, ses appels téléphoniques, ses messages sur son mobile... Tout cela sous le contrôle du Procureur.
Dakarposte vous promet de revenir dans les prochaines heures avec une ébauche de détails sur le suspect "sérieux en la personne de son fils ou d'une quelconque personne mêlée à ce crime" pour reprendre nos sources.
Quoi qu'il en soit, dans les colonnes de L’Observateur, Samba Sy, fils du vieillard battu à mort et décapité raconte l’horreur vécue par sa famille: "Ce n’est pas la première fois qu’on tue des membres de notre famille. A la veille de la Korité passée, l’épouse de mon grand-frère, Ndèye Ndiaye, et son fils, S. Seck, ont été assassinés et jetés dans un puits situé loin des concessions. C’était à Keur Assane (Tivaouane). Le vieux se portait bien. Les choses ont commencé avant-hier lundi. Des personnes non identifiées ont fait irruption nuitamment dans sa chambre et tenté de le tuer. Heureusement, il avait réussi à alerter toute la maison. Lorsque les gens sont venus, ils n’ont vu personne et ont pensé qu’il avait fait un cauchemar. Ils ne l’ont pas cru. Dans la matinée d’hier (mercredi), il devait se rendre à un baptême. En cours de route, il a été intercepté, tué, décapité et sa tête emportée. Son corps est actuellement à l’hôpital Principal de Dakar pour les besoins de l’autopsie. Nous sommes dépassées par ce qui se passe dans notre famille. On ne comprend plus rien. On a perdu trois parents, tous tués dans des manières crapuleuses."
Mamadou Ndiaye, journaliste d'investigations, Dirpub dakaposte.com
Mail: njaydakarposte@gmail.com
Des informations fiables en possession de dakarposte, il ressort qu'aussitôt que l'alerte de ce meurtre a été donnée ,toutes les autorités particulièrement judiciaires ont été prévenues. C'est ainsi que le procureur de la République a saisi la redoutée mais redoutable Section Recherches de la gendarmerie sise à Colobane aux fins de se rendre sur les lieux du crime pour les besoins de l'enquête. Sans tarder, les pandores se rendent sirènes hurlantes au village du défunt Assane Seck.
Du coup, les enquêteurs démarrent la procédure. Ils savent que le moindre détail compte. Ils fouinent un peu partout, entendent presque tout le village du défunt.
Le démembrement technique des pandores photographie tout, du général au particulier. De là où s'est déroulée la scène du crime, jusqu'aux détails des plaies sur le corps inanimé. Sans rien toucher. Ce travail est minutieux. Il permettra de savoir avec précision à quel emplacement chaque indice a été prélevé. Ces clichés sont ensuite réunis dans un album, mis à la disposition des plus hautes autorités, de la justice.
Simultanément, une autre équipe des enquêteurs de la SR traquent les indices. Fouillent chaque recoin aux alentours. Recueillent l'identité des témoins sur les lieux. Les témoins principaux sont entendus à chaud, pour éviter des déperditions d'informations. Ils seront entendus une deuxième fois plus tard, comme les autres témoins, dans leur Quartier Général aménagé pour la circonstance dans le village.
Des informations glanées par les radars de dakarposte activés sur cette affaire, nous tenons que plusieurs personnes sont entre les mains des enquêteurs. dont la veuve.
Et l'enquête menée de mains de maitre par la Section Recherches de la gendarmerie avance à grands pas. D'ailleurs, elle sera bouclée ce dimanche. Le maitre des poursuites (entendez le Procureur de la République) est informé en temps réel.
D'ailleurs, le pandore désigné directeur d'enquête a déjà fait les premières constatations. Après la reconstitution des faits avec le présumé meurtrier (Gora Seck, un fils du défunt), il a , nous souffle t'on, fini de rédiger un procès-verbal très long, très détaillé, pour figer la chronologie des faits et l'environnement des lieux du drame. Bref, il a fini de croiser tous les éléments recueillis par chaque gendarme . Sa connaissance intégrale du dossier, nourrie en temps réel, lui a, nous apprend-on, permis de rassembler les morceaux du puzzle.
Il revient à dakarposte que les éléments de la SR ont fouillé le domicile de la victime, éplucher entre autres, ses appels téléphoniques, ses messages sur son mobile... Tout cela sous le contrôle du Procureur.
Dakarposte vous promet de revenir dans les prochaines heures avec une ébauche de détails sur le suspect "sérieux en la personne de son fils ou d'une quelconque personne mêlée à ce crime" pour reprendre nos sources.
Quoi qu'il en soit, dans les colonnes de L’Observateur, Samba Sy, fils du vieillard battu à mort et décapité raconte l’horreur vécue par sa famille: "Ce n’est pas la première fois qu’on tue des membres de notre famille. A la veille de la Korité passée, l’épouse de mon grand-frère, Ndèye Ndiaye, et son fils, S. Seck, ont été assassinés et jetés dans un puits situé loin des concessions. C’était à Keur Assane (Tivaouane). Le vieux se portait bien. Les choses ont commencé avant-hier lundi. Des personnes non identifiées ont fait irruption nuitamment dans sa chambre et tenté de le tuer. Heureusement, il avait réussi à alerter toute la maison. Lorsque les gens sont venus, ils n’ont vu personne et ont pensé qu’il avait fait un cauchemar. Ils ne l’ont pas cru. Dans la matinée d’hier (mercredi), il devait se rendre à un baptême. En cours de route, il a été intercepté, tué, décapité et sa tête emportée. Son corps est actuellement à l’hôpital Principal de Dakar pour les besoins de l’autopsie. Nous sommes dépassées par ce qui se passe dans notre famille. On ne comprend plus rien. On a perdu trois parents, tous tués dans des manières crapuleuses."
Mamadou Ndiaye, journaliste d'investigations, Dirpub dakaposte.com
Mail: njaydakarposte@gmail.com