Deux personnes se trouvaient en « urgence absolue », a précisé la préfecture de police de Paris à l'AFP, après l'attaque à l'arme blanche survenue près des anciens locaux du journal satirique.
Un « suspect » a été interpellé, peu de temps après, à proximité de la place de la Bastille à Paris.
Cette agression, qui survient en plein procès des attentats meurtriers de janvier 2015, serait le fait d'une seule personne, a également précisé la préfecture de police de Paris, qui avait dans un premier temps fait état de deux suspects en fuite et de quatre blessés.
La rue Nicolas Appert, où se trouvaient les locaux du journal, est bloquée, avec une dizaine de policiers déployés sur place, a constaté une journaliste de l'AFP. La préfecture de police avait appelé, sur Twitter, à « éviter le secteur ».
Cellule de crise
Une cellule de crise a aussi été ouverte au ministère de l'Intérieur, où le ministre Gérald Darmanin se rendait « en urgence » avec le Premier ministre Jean Castex, qui a écourté un déplacement en Seine-Saint-Denis .
Un « suspect » a été interpellé, peu de temps après, à proximité de la place de la Bastille à Paris.
Cette agression, qui survient en plein procès des attentats meurtriers de janvier 2015, serait le fait d'une seule personne, a également précisé la préfecture de police de Paris, qui avait dans un premier temps fait état de deux suspects en fuite et de quatre blessés.
La rue Nicolas Appert, où se trouvaient les locaux du journal, est bloquée, avec une dizaine de policiers déployés sur place, a constaté une journaliste de l'AFP. La préfecture de police avait appelé, sur Twitter, à « éviter le secteur ».
Cellule de crise
Une cellule de crise a aussi été ouverte au ministère de l'Intérieur, où le ministre Gérald Darmanin se rendait « en urgence » avec le Premier ministre Jean Castex, qui a écourté un déplacement en Seine-Saint-Denis .