
Dans un message publié sur sa page Facebook, l’acteur politique décrit une capitale sous tension, marquée par une présence massive des forces de sécurité et des affrontements avec des jeunes manifestants.
« Ce que j’y ai ressenti m’a noué les entrailles : une tension sourde, oppressante et persistante », écrit-il. Il évoque les traces visibles des violences nocturnes, mais surtout les regards des jeunes « fatigués, assoiffés, affamés », qui malgré tout « restent courageux, bravant la peur pour leur quartier, pour le peuple togolais tout entier ».
Le porte-parole du front “Touche Pas A Ma Constitution” dénonce l’isolement de ces jeunes dans leur lutte, fustigeant le silence et l’inaction d’une partie de la population. « Ne restons pas les bras croisés, hypnotisés derrière nos smartphones, comme si ce qui se joue n’était qu’un lointain spectacle virtuel. […] Ce n’est pas un film, c’est ici chez nous, au Togo, et c’est maintenant. »
Appelant à une mobilisation collective, il invite femmes, organisations de la société civile, partis politiques et citoyens à se tenir aux côtés des manifestants, en leur apportant ne serait-ce qu’un geste de soutien concret. « Ce geste-là, si petit soit-il, est immense », souligne-t-il.
Nathaniel Olympio conclut son appel en insistant sur la responsabilité de chacun : « Ce combat nous concerne tous, chacun doit faire sa part. »
ici.lome.com
« Ce que j’y ai ressenti m’a noué les entrailles : une tension sourde, oppressante et persistante », écrit-il. Il évoque les traces visibles des violences nocturnes, mais surtout les regards des jeunes « fatigués, assoiffés, affamés », qui malgré tout « restent courageux, bravant la peur pour leur quartier, pour le peuple togolais tout entier ».
Le porte-parole du front “Touche Pas A Ma Constitution” dénonce l’isolement de ces jeunes dans leur lutte, fustigeant le silence et l’inaction d’une partie de la population. « Ne restons pas les bras croisés, hypnotisés derrière nos smartphones, comme si ce qui se joue n’était qu’un lointain spectacle virtuel. […] Ce n’est pas un film, c’est ici chez nous, au Togo, et c’est maintenant. »
Appelant à une mobilisation collective, il invite femmes, organisations de la société civile, partis politiques et citoyens à se tenir aux côtés des manifestants, en leur apportant ne serait-ce qu’un geste de soutien concret. « Ce geste-là, si petit soit-il, est immense », souligne-t-il.
Nathaniel Olympio conclut son appel en insistant sur la responsabilité de chacun : « Ce combat nous concerne tous, chacun doit faire sa part. »
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