L’impardonnable ne peut être pardonné, le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire
Monsieur le Président,
Il est d’une urgence vitale pour le destin de notre pays que nous aimons tous, de vous alerter, en votre qualité de plus haut représentant de toutes les composantes de la nation, parmi lesquelles vous n’êtes naturellement pas sans ignorer qu’ils vous ont transférer leur confiance en 2012. Ainsi, dans un pays de démocratie comme le Sénégal, il y a lieu de s’alarmer que ni les élus, ni les représentants de l'Etat au niveau local, ni même les instances dites représentatives de l'islam du Sénégal, ne soient capables de relayer nos inquiétudes au point de me voir obligé de vous écrire directement.
En effet, Monsieur Papa Maël DIOP Directeur général des aéroports du Sénégal m’avait radié politiquement et injustement depuis le 15 Décembre 2014 de mes fonctions de Chef du Protocole de ladite agence pour la seule raison d’avoir dénoncé à l’époque son conseiller politique qui avait commis un délit de faux et usage de faux au consulat général de France à Dakar, alors que es relations entre le Sénégal et la France sont étroites et multiformes, et les rencontres entre les responsables politiques des deux pays fréquentes.
Et curieusement, ma radiation avait eu lieu bien avant la tenue du conseil de discipline à l’issu duquel était censé provenir la décision du licenciement.
N'est-il pas scandaleux, en effet, qu'un Directeur général dont la fonction exige hauteur de vue, probité et garantie de la cohésion nationale se permet de licencier abusivement des pères de familles et de sacrifier toute une famille? Ce n’est pas une bonne politique pour vous et je ne pourrai pardonner ces faits irresponsables de la part d’une autorité.
A plusieurs reprises, j’ai tenté de vous en informer sans suite. Je vous rappelle que l’article L51 du code du travail dit: "La résiliation du contrat à durée indéterminée est subordonnée à un préavis notifié par écrit par la partie qui prend l’initiative de la rupture". Mais ce préavis ne m’avait pas été notifié.
Aussi, « Le motif de rupture du contrat doit figurer dans cette notification ». Mais il se trouve que la lettre de radiation ne contenait pas de motif du licenciement. Ce qui explique un abus de droit et de pouvoir.
Article L.55 « Si la résiliation du contrat intervient pendant le congé du travailleur, l’indemnité compensatrice de préavis calculée conformément à l’alinéa 1 de l’article L.53 est doublée, j’ai été radié pendant mes congés, ce qui explique un abus de droit et de pouvoir.
Article L.56 « Toute rupture abusive de contrat peut donner lieu à des dommages et intérêts. La juridiction compétente constate l’abus par une enquête sur les causes et les circonstances de la rupture du contrat ».
Sur ce je vous invite, Monsieur le Président, à prendre toute mesure qui s’impose pour faire cesser cette situation au sein des ADS et sollicite votre réflexion et votre sagacité afin que justice me soit rendue sans tarder.
Sans suite, j’utiliserai d’autres moyens de bord et j’en serai très sincèrement désolé car je ne souhaiterai pas en arriver à ce stade où je serai obligé de saisir la communauté internationale pour une affaire de justice sociale.
J’aurais pu me complaire de ma situation actuelle car j’ai retrouvé une très bonne assise, me taire, ne rien dire sur cette affaire mais il n’y a aucun bonheur à vivre le bonheur seul dans une société de misère car je ne suis pas le seul. D’autres agents auraient pu montrer leur colère mais n’ont pas les moyens d’en parler, ont peur de dire mots, de solliciter des avocats ou de se confier à de très hautes personnalités.
Je vous remercie de bien vouloir me faire part des suites car vous-même m’aviez promis lors d’un de vos déplacements sur Paris de s’enquérir de cette situation.
Jamais je ne pardonnerai cette injustice qui aura souillé ma dignité et celle de tant d’autres agents !
En espérant que des mesures saines et rapides soient prises pour y remédier, que mes droits me soient payés dans les plus brefs délais, veuillez recevoir, monsieur le président, mes sincères et respectueuses salutations.
Mahib HANE
Monsieur le Président,
Il est d’une urgence vitale pour le destin de notre pays que nous aimons tous, de vous alerter, en votre qualité de plus haut représentant de toutes les composantes de la nation, parmi lesquelles vous n’êtes naturellement pas sans ignorer qu’ils vous ont transférer leur confiance en 2012. Ainsi, dans un pays de démocratie comme le Sénégal, il y a lieu de s’alarmer que ni les élus, ni les représentants de l'Etat au niveau local, ni même les instances dites représentatives de l'islam du Sénégal, ne soient capables de relayer nos inquiétudes au point de me voir obligé de vous écrire directement.
Je tiens à vous informer à nouveau des faits de discrimination, d’injustice, de radiation abusive dont j’ai été victime au sein de l’agence des aéroports du Sénégal.
Je tiens à vous informer à nouveau des faits de discrimination, d’injustice, de radiation abusive dont j’ai été victime au sein de l’agence des aéroports du Sénégal
En effet, Monsieur Papa Maël DIOP Directeur général des aéroports du Sénégal m’avait radié politiquement et injustement depuis le 15 Décembre 2014 de mes fonctions de Chef du Protocole de ladite agence pour la seule raison d’avoir dénoncé à l’époque son conseiller politique qui avait commis un délit de faux et usage de faux au consulat général de France à Dakar, alors que es relations entre le Sénégal et la France sont étroites et multiformes, et les rencontres entre les responsables politiques des deux pays fréquentes.
Et curieusement, ma radiation avait eu lieu bien avant la tenue du conseil de discipline à l’issu duquel était censé provenir la décision du licenciement.
N'est-il pas scandaleux, en effet, qu'un Directeur général dont la fonction exige hauteur de vue, probité et garantie de la cohésion nationale se permet de licencier abusivement des pères de familles et de sacrifier toute une famille? Ce n’est pas une bonne politique pour vous et je ne pourrai pardonner ces faits irresponsables de la part d’une autorité.
A plusieurs reprises, j’ai tenté de vous en informer sans suite. Je vous rappelle que l’article L51 du code du travail dit: "La résiliation du contrat à durée indéterminée est subordonnée à un préavis notifié par écrit par la partie qui prend l’initiative de la rupture". Mais ce préavis ne m’avait pas été notifié.
Aussi, « Le motif de rupture du contrat doit figurer dans cette notification ». Mais il se trouve que la lettre de radiation ne contenait pas de motif du licenciement. Ce qui explique un abus de droit et de pouvoir.
Article L.55 « Si la résiliation du contrat intervient pendant le congé du travailleur, l’indemnité compensatrice de préavis calculée conformément à l’alinéa 1 de l’article L.53 est doublée, j’ai été radié pendant mes congés, ce qui explique un abus de droit et de pouvoir.
Article L.56 « Toute rupture abusive de contrat peut donner lieu à des dommages et intérêts. La juridiction compétente constate l’abus par une enquête sur les causes et les circonstances de la rupture du contrat ».
La justice sénégalaise ne me dira pas que depuis le 15 Décembre 2014, elle n’a pas encore clos son enquête sur ce dossier.Monsieur le Président, à prendre toute mesure qui s’impose pour faire cesser cette situation au sein des ADS et sollicite votre réflexion et votre sagacité afin que justice me soit rendue sans tarder.
Sur ce je vous invite, Monsieur le Président, à prendre toute mesure qui s’impose pour faire cesser cette situation au sein des ADS et sollicite votre réflexion et votre sagacité afin que justice me soit rendue sans tarder.
Sans suite, j’utiliserai d’autres moyens de bord et j’en serai très sincèrement désolé car je ne souhaiterai pas en arriver à ce stade où je serai obligé de saisir la communauté internationale pour une affaire de justice sociale.
J’aurais pu me complaire de ma situation actuelle car j’ai retrouvé une très bonne assise, me taire, ne rien dire sur cette affaire mais il n’y a aucun bonheur à vivre le bonheur seul dans une société de misère car je ne suis pas le seul. D’autres agents auraient pu montrer leur colère mais n’ont pas les moyens d’en parler, ont peur de dire mots, de solliciter des avocats ou de se confier à de très hautes personnalités.
Je vous remercie de bien vouloir me faire part des suites car vous-même m’aviez promis lors d’un de vos déplacements sur Paris de s’enquérir de cette situation.
Jamais je ne pardonnerai cette injustice qui aura souillé ma dignité et celle de tant d’autres agents !
En espérant que des mesures saines et rapides soient prises pour y remédier, que mes droits me soient payés dans les plus brefs délais, veuillez recevoir, monsieur le président, mes sincères et respectueuses salutations.
Mahib HANE