Quelque 719 personnes ont été interpellées en France, a indiqué le ministère de l'Intérieur dans un nouveau bilan à 7h30 ce dimanche, contre 994 samedi à la même heure, alors que les violences déclenchées par la mort du jeune Nahel, tué mardi par un policier, semblaient en net recul. A ce stade, 45 policiers et gendarmes ont été blessés, 577 véhicules et 74 bâtiments ont été incendiés, tandis que 871 incendies ont été comptabilisés sur la voie publique, a ajouté le ministère.
315 personnes ont été interpellées à Paris, a annoncé à la mi-journée le préfet de police Laurent Nuñez, sur BFMTV.
Sur Twitter vers 3h du matin, Gérald Darmanin s'est félicité d'une nuit "plus calme grâce à l'action résolue des forces de l’ordre".
À Marseille, théâtre d'importants incidents et pillages dans la nuit de vendredi à samedi, un important dispositif de sécurité, soutenu notamment par les forces d'élite du Raid et du GIGN, a dispersé des groupes de jeunes moins nombreux que la veille.
315 interpellations à Paris, 65 à Marseille
Un total de 65 interpellations avaient été comptabilisées vers minuit dans la cité phocéenne, selon la préfecture locale. Deux policiers ont par ailleurs été blessés à Marseille, a-t-on appris de la préfecture de police, dont l'un au visage après avoir reçu un tir de mortier. Conscient, il a été transféré à l'hôpital.
Selon les chiffres avancés par le préfet de police de Paris, 315 personnes avaient été interpellées au cours de la soirée à Paris et sa banlieue.
Dans la capitale, un important dispositif de forces de l'ordre a été déployé le long des Champs-Elysées, où des appels à se rassembler circulaient depuis vendredi sur les réseaux sociaux, a constaté une journaliste de l'AFP.
Tout au long de l'avenue, des petits groupes de jeunes vêtus de noirs déambulaient sous les yeux de CRS devant les commerces, cibles privilégiées des émeutiers dans de nombreuses métropoles, dont les devantures étaient protégées de grilles ou de planches de bois.
45.000 policiers et gendarmes déployés
Vers 01h30, les forces de l'ordre s'employaient à évacuer les derniers groupes restants.
Ailleurs en banlieue parisienne, principal point de départ des émeutes urbaines après la mort de l'adolescent de 17 ans mardi à Nanterre, aucun incident majeur n'a été signalé. Des policiers ont été pris à partie et des mortiers ont été tirés vers Vigneux (Essonne).
À Lyon, agglomération très touchée la veille par les violences urbaines, 21 personnes ont été arrêtées, selon un bilan communiqué en fin de soirée par la place Beauvau.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait annoncé la mobilisation d'un effectif comparable à la veille avec 45.000 policiers et gendarmes, dont 7.000 à Paris et en proche banlieue.
315 personnes ont été interpellées à Paris, a annoncé à la mi-journée le préfet de police Laurent Nuñez, sur BFMTV.
Sur Twitter vers 3h du matin, Gérald Darmanin s'est félicité d'une nuit "plus calme grâce à l'action résolue des forces de l’ordre".
À Marseille, théâtre d'importants incidents et pillages dans la nuit de vendredi à samedi, un important dispositif de sécurité, soutenu notamment par les forces d'élite du Raid et du GIGN, a dispersé des groupes de jeunes moins nombreux que la veille.
315 interpellations à Paris, 65 à Marseille
Un total de 65 interpellations avaient été comptabilisées vers minuit dans la cité phocéenne, selon la préfecture locale. Deux policiers ont par ailleurs été blessés à Marseille, a-t-on appris de la préfecture de police, dont l'un au visage après avoir reçu un tir de mortier. Conscient, il a été transféré à l'hôpital.
Selon les chiffres avancés par le préfet de police de Paris, 315 personnes avaient été interpellées au cours de la soirée à Paris et sa banlieue.
Dans la capitale, un important dispositif de forces de l'ordre a été déployé le long des Champs-Elysées, où des appels à se rassembler circulaient depuis vendredi sur les réseaux sociaux, a constaté une journaliste de l'AFP.
Tout au long de l'avenue, des petits groupes de jeunes vêtus de noirs déambulaient sous les yeux de CRS devant les commerces, cibles privilégiées des émeutiers dans de nombreuses métropoles, dont les devantures étaient protégées de grilles ou de planches de bois.
45.000 policiers et gendarmes déployés
Vers 01h30, les forces de l'ordre s'employaient à évacuer les derniers groupes restants.
Ailleurs en banlieue parisienne, principal point de départ des émeutes urbaines après la mort de l'adolescent de 17 ans mardi à Nanterre, aucun incident majeur n'a été signalé. Des policiers ont été pris à partie et des mortiers ont été tirés vers Vigneux (Essonne).
À Lyon, agglomération très touchée la veille par les violences urbaines, 21 personnes ont été arrêtées, selon un bilan communiqué en fin de soirée par la place Beauvau.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait annoncé la mobilisation d'un effectif comparable à la veille avec 45.000 policiers et gendarmes, dont 7.000 à Paris et en proche banlieue.