Le verdict est tombé le 4 mars 2019 dernier mais il a été rendu public le 15 mai dernier. La Cour de justice de la Cedeao a tranché sur le recours de Karim Wade contre sa radiation sur les listes électorales.
D’après Libération qui donne l’information, la Cour a estimé que cette restriction est « légale » mais surtout « nécessaire ». « La Cour constate que le rejet de l’inscription de Karim Meïssa Wade sur les listes électorales lorsqu’il aspire à la plus haute fonction étatique, constitue une restriction à son droit de vote, mais cette restriction est faite en application de la lioi, notamment des articles 34 et 35 du code pénal rt L31 du code électoral sénégalais.
Elle vise à réprimer plus sévèrement certains faits lorsqu’ils sont commis par des personnes dépositaires de l’autorité publique. Cette privation de l’exercice du droit de suffrage est attachée de plein droit à diverses condamnations pénales sans que le juge qui décide de ces mesures, ait à les prononcer expressément. La restriction est donc légale et nécessaire », lit-on dans le document.
D’après Libération qui donne l’information, la Cour a estimé que cette restriction est « légale » mais surtout « nécessaire ». « La Cour constate que le rejet de l’inscription de Karim Meïssa Wade sur les listes électorales lorsqu’il aspire à la plus haute fonction étatique, constitue une restriction à son droit de vote, mais cette restriction est faite en application de la lioi, notamment des articles 34 et 35 du code pénal rt L31 du code électoral sénégalais.
Elle vise à réprimer plus sévèrement certains faits lorsqu’ils sont commis par des personnes dépositaires de l’autorité publique. Cette privation de l’exercice du droit de suffrage est attachée de plein droit à diverses condamnations pénales sans que le juge qui décide de ces mesures, ait à les prononcer expressément. La restriction est donc légale et nécessaire », lit-on dans le document.