Créer des centaines de milliers d’emplois dans les années à venir. C'est aussi l'espoir de l’État saoudien à travers ce méga-plan d’investissements, qui a pour objectif premier de diversifier l’économie du pays et de développer le secteur privé. L’Arabie saoudite reste toujours très dépendante des recettes pétrolières qui constituent plus de la moitié des revenus du royaume.
Depuis début 2020, le pays est confronté, comme le reste du monde, à la crise sanitaire qui le prive notamment de la manne du tourisme religieux et à la baisse des prix du pétrole. Conséquence : le taux de chômage avoisine désormais les 15%.
Financement par les dividendes des grandes entreprises
Le prince hériter Mohammed ben Salman l'a annoncé : ce plan va être financé en grande partie par le fonds d’investissement public saoudien et les 24 plus grandes entreprises du pays. Ces groupes ont accepté de baisser le niveau de leurs dividendes pour pouvoir injecter de l’argent dans ce programme du gouvernement en échange d’incitations financières.
Le prince héritier n’a pas encore précisé d’où proviendrait le reste du montant. Il ne peut pas compter sur les financements étrangers. Le royaume peine, en effet, à attirer des investissements étrangers en raison de sa mauvaise image au niveau international.
Depuis début 2020, le pays est confronté, comme le reste du monde, à la crise sanitaire qui le prive notamment de la manne du tourisme religieux et à la baisse des prix du pétrole. Conséquence : le taux de chômage avoisine désormais les 15%.
Financement par les dividendes des grandes entreprises
Le prince hériter Mohammed ben Salman l'a annoncé : ce plan va être financé en grande partie par le fonds d’investissement public saoudien et les 24 plus grandes entreprises du pays. Ces groupes ont accepté de baisser le niveau de leurs dividendes pour pouvoir injecter de l’argent dans ce programme du gouvernement en échange d’incitations financières.
Le prince héritier n’a pas encore précisé d’où proviendrait le reste du montant. Il ne peut pas compter sur les financements étrangers. Le royaume peine, en effet, à attirer des investissements étrangers en raison de sa mauvaise image au niveau international.