Les radars fureteurs de dakarposte sont plus que formels: "le colis" (entendez Ousmane Sonko) s'est retranché quelque part.
En clair, le chef de file du parti Les Pastefs reste introuvable chez lui à Ziguinchor. "Mais, croyez moi, fait savoir une source de dakarposte, nos Fds savent où il se trouve. Je vous dis, il s'est retranché dans un endroit que nous avons fini par localiser. Nous avons déployé nos éléments, des unités d'élite (GIGN et BIP). Vous n'êtes pas sans savoir que nous avons la possibilité de procéder à un assaut impitoyable aux fins de l'arrêter, mais ce n'est pas, du tout alors l'ordre du jour, du moins pour le moment"
Selon des informations fiables en possession de dakarposte, les lieux (la maison et les alentours de chez Sonko) sont cernés. Les forces spéciales, aux aguets, depuis plusieurs jours, n'attendent que le signal de l'assaut.
Il nous revient que chacune des deux unités (GIGN et BIP) a pour mission impérative de cueillir le "colis" en évitant de faire couler le sang.
Mais, si le port de la cagoule est obligatoire pour tout le monde, les méthodes, codes radios et armements diffèrent.
L'action des supergendarmes et des policiers surentraînés, coordonnée au millimètre sur les deux fronts, est pilotée depuis un poste de commandement commun situé dans un endroit "Top Secret". Là, sur des tables encombrées d'ordinateurs reliés à des caméras surpuissantes, les opérateurs suivent chaque phase de la situation dans la capitale méridionale sous nos cieux et orientent les groupes d'assaut sous la protection de snippers.
"Ecoutez, s'il faut arrêter Sonko, il suffit de quelques petites minutes pour que les groupes casqués démontrent leur complémentarité, soufflant les accès des bâtiments à l'explosif, neutralisant Sonko et Cie non sans les exfiltrer avec maestria" nous souffle un source au fait de ce qui se trame dans les plus hautes sphères de l'Etat.
Selon notre informateur, le "colis" est cerné. "En dépit des apparences, c'est une personne affaiblie, exténuée par ce scandale de viol, l'affaire de diffamation et bien évidemment ses jours de cavale. "
Bref, il s'agit d'une traque à l'ampleur exceptionnelle : un nombre impressionnant de gendarmes et limiers mobilisés, plusieurs km² de périmètres à couvrir dans des milieux hostiles, où seules les unités d'élite du perspicace GIGN et de la redoutée mais redoutable Bip sont capables d'intervenir.
Lourdement armés, suréquipés pour une traque de chaque instant grâce à des caméras thermiques embarquées, des drones, casques de vision nocturne etc...
L'objectif n'en demeure pas moins de de progresser doucement, mais sûrement..."Surtout ne pas tomber dans le piège de Sonko, le manipulateur, qui cherche à se faire arrêter et conduit manu militari à Dakar. En somme, ce fieffé menteur, mégalomane comme pas deux veut, comme à l'accoutumée, se victimiser, créer le chaos au Sénégal, rendre le pays ingouvernable, mais c'est peine perdue car il a été démasqué. En outre, la situation est sous contrôle " glisse notre informateur avant de renchérir: "Il ne faut pas prendre pour argent comptant les informations qui circulent depuis ce matin notamment sur les réseaux sociaux. Vous avez vu des images de foules qui datent de plusieurs années, depuis Mars 2021, des photos de blessés et/ou de morts qui n’ont pas été prises au Sénégal, ou encore de vieux "lives" d'émeutes. Sur Facebook, fief numérique des partisans de Sonko , les fake news (ou fausses informations) se sont multipliées depuis le début du mouvement à Ziguinchor. Fort heureusement, les Sénégalais, du moins bon nombre d'entre nous, surtout les masses silencieuses ne sont pas dupes. Vous n'allez certainement pas me croire, mais Sonko et Cie ont fait convoyer des gens de Bignona, Sedhiou, Kolda etc pour semer le désordre. Tout les reste n''est que légende..."
njaydakarposte@gmail.com
En clair, le chef de file du parti Les Pastefs reste introuvable chez lui à Ziguinchor. "Mais, croyez moi, fait savoir une source de dakarposte, nos Fds savent où il se trouve. Je vous dis, il s'est retranché dans un endroit que nous avons fini par localiser. Nous avons déployé nos éléments, des unités d'élite (GIGN et BIP). Vous n'êtes pas sans savoir que nous avons la possibilité de procéder à un assaut impitoyable aux fins de l'arrêter, mais ce n'est pas, du tout alors l'ordre du jour, du moins pour le moment"
Selon des informations fiables en possession de dakarposte, les lieux (la maison et les alentours de chez Sonko) sont cernés. Les forces spéciales, aux aguets, depuis plusieurs jours, n'attendent que le signal de l'assaut.
Il nous revient que chacune des deux unités (GIGN et BIP) a pour mission impérative de cueillir le "colis" en évitant de faire couler le sang.
Mais, si le port de la cagoule est obligatoire pour tout le monde, les méthodes, codes radios et armements diffèrent.
L'action des supergendarmes et des policiers surentraînés, coordonnée au millimètre sur les deux fronts, est pilotée depuis un poste de commandement commun situé dans un endroit "Top Secret". Là, sur des tables encombrées d'ordinateurs reliés à des caméras surpuissantes, les opérateurs suivent chaque phase de la situation dans la capitale méridionale sous nos cieux et orientent les groupes d'assaut sous la protection de snippers.
"Ecoutez, s'il faut arrêter Sonko, il suffit de quelques petites minutes pour que les groupes casqués démontrent leur complémentarité, soufflant les accès des bâtiments à l'explosif, neutralisant Sonko et Cie non sans les exfiltrer avec maestria" nous souffle un source au fait de ce qui se trame dans les plus hautes sphères de l'Etat.
Selon notre informateur, le "colis" est cerné. "En dépit des apparences, c'est une personne affaiblie, exténuée par ce scandale de viol, l'affaire de diffamation et bien évidemment ses jours de cavale. "
Bref, il s'agit d'une traque à l'ampleur exceptionnelle : un nombre impressionnant de gendarmes et limiers mobilisés, plusieurs km² de périmètres à couvrir dans des milieux hostiles, où seules les unités d'élite du perspicace GIGN et de la redoutée mais redoutable Bip sont capables d'intervenir.
Lourdement armés, suréquipés pour une traque de chaque instant grâce à des caméras thermiques embarquées, des drones, casques de vision nocturne etc...
L'objectif n'en demeure pas moins de de progresser doucement, mais sûrement..."Surtout ne pas tomber dans le piège de Sonko, le manipulateur, qui cherche à se faire arrêter et conduit manu militari à Dakar. En somme, ce fieffé menteur, mégalomane comme pas deux veut, comme à l'accoutumée, se victimiser, créer le chaos au Sénégal, rendre le pays ingouvernable, mais c'est peine perdue car il a été démasqué. En outre, la situation est sous contrôle " glisse notre informateur avant de renchérir: "Il ne faut pas prendre pour argent comptant les informations qui circulent depuis ce matin notamment sur les réseaux sociaux. Vous avez vu des images de foules qui datent de plusieurs années, depuis Mars 2021, des photos de blessés et/ou de morts qui n’ont pas été prises au Sénégal, ou encore de vieux "lives" d'émeutes. Sur Facebook, fief numérique des partisans de Sonko , les fake news (ou fausses informations) se sont multipliées depuis le début du mouvement à Ziguinchor. Fort heureusement, les Sénégalais, du moins bon nombre d'entre nous, surtout les masses silencieuses ne sont pas dupes. Vous n'allez certainement pas me croire, mais Sonko et Cie ont fait convoyer des gens de Bignona, Sedhiou, Kolda etc pour semer le désordre. Tout les reste n''est que légende..."
njaydakarposte@gmail.com