
« La situation humanitaire a atteint un point de rupture », a indiqué Martin Griffiths ce 30 avril 2023, après deux semaines de combats au Soudan.
Le responsable pour les affaires humanitaires de l’ONU doit se rendre au Soudan pour « voir comment nous pouvons apporter un soulagement immédiat aux personnes impactées ».
Car le pillage massif des bureaux et des entrepôts humanitaires a épuisé les stocks, précise-t-il. Et « nous cherchons des moyens rapides pour acheminer et distribuer des provisions supplémentaires ».
Martin Griffiths est actuellement au Kenya pour y rencontrer les autorités et voir comment acheminer l’aide, les combats persistants et l’aéroport de Khartoum étant fermé.
Pour l’instant, seul le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) est parvenu à faire atterrir un premier avion chargé de huit tonnes d'aides.
Il a atterri ce 30 avril à Port-Soudan, à plus de 800 km de la capitale et l'aide – dont du matériel chirurgical – doit encore être acheminé vers Khartoum.
Khartoum où la situation reste critique, avec des centaines de milliers de personnes terrées chez elles.
Les combats y sont principalement dans le centre-ville et les Soudanais qui le pouvaient ont quitté le centre pour s'installer en périphérie, où les conditions sont plus tenables.
Et puis il y a ceux qui se sont déplacés dans le pays ou même qui ont quitté le Soudan.
Ils sont plus de 50 000 à être partis par leurs propres moyens, selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), principalement vers le Tchad, l'Égypte, le Soudan du Sud.
Le responsable pour les affaires humanitaires de l’ONU doit se rendre au Soudan pour « voir comment nous pouvons apporter un soulagement immédiat aux personnes impactées ».
Car le pillage massif des bureaux et des entrepôts humanitaires a épuisé les stocks, précise-t-il. Et « nous cherchons des moyens rapides pour acheminer et distribuer des provisions supplémentaires ».
Martin Griffiths est actuellement au Kenya pour y rencontrer les autorités et voir comment acheminer l’aide, les combats persistants et l’aéroport de Khartoum étant fermé.
Pour l’instant, seul le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) est parvenu à faire atterrir un premier avion chargé de huit tonnes d'aides.
Il a atterri ce 30 avril à Port-Soudan, à plus de 800 km de la capitale et l'aide – dont du matériel chirurgical – doit encore être acheminé vers Khartoum.
Khartoum où la situation reste critique, avec des centaines de milliers de personnes terrées chez elles.
Les combats y sont principalement dans le centre-ville et les Soudanais qui le pouvaient ont quitté le centre pour s'installer en périphérie, où les conditions sont plus tenables.
Et puis il y a ceux qui se sont déplacés dans le pays ou même qui ont quitté le Soudan.
Ils sont plus de 50 000 à être partis par leurs propres moyens, selon le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), principalement vers le Tchad, l'Égypte, le Soudan du Sud.