Le Train Express Régional (TER) de Dakar a subi deux actes de vandalisme les 13 et 14 juin 2025, causant d’importantes perturbations sur l’ensemble du réseau. Selon un communiqué conjoint de la SENTER et de la SETER, des équipements stratégiques ont été endommagés, entraînant des retards majeurs pour des milliers d’usagers.
Les incidents, survenus dans des zones d’emprise ferroviaire, ont ciblé des installations critiques pour la signalisation et la circulation des trains. Les autorités évoquent des « dégâts matériels significatifs » et des coûts de réparation élevés, sans préciser la nature exacte des équipements touchés. Le trafic a été ralenti « à pas de tortue » pendant plusieurs heures.
Une enquête judiciaire a été ouverte avec le soutien de la Légion de Gendarmerie du Transport Ferroviaire (LGTF). Les autorités restent discrètes sur les circonstances, mais des sources évoquent le vol de câbles de signalisation.
Un scénario similaire à un précédent incident en 2022 où 60 mètres de câbles avaient été dérobés près de Yeumbeul. Mountaga SY, directeur de l’APIX à l’époque, avait alors qualifié ces actes de « criminels », dénonçant un impact sur 15 000 usagers quotidiennement.
Dans leur communiqué, la SENTER et la SETER soulignent que le TER est « un patrimoine national » essentiel à la mobilité dakaroise. Elles promettent des mesures renforcées pour sécuriser les infrastructures et invitent les citoyens à « dénoncer toute activité suspecte ».
Alors que le TER, inauguré en 2021, représente un investissement de 1 300 milliards FCFA de tels actes contribuent à sa dégradation.
Walf
Les incidents, survenus dans des zones d’emprise ferroviaire, ont ciblé des installations critiques pour la signalisation et la circulation des trains. Les autorités évoquent des « dégâts matériels significatifs » et des coûts de réparation élevés, sans préciser la nature exacte des équipements touchés. Le trafic a été ralenti « à pas de tortue » pendant plusieurs heures.
Une enquête judiciaire a été ouverte avec le soutien de la Légion de Gendarmerie du Transport Ferroviaire (LGTF). Les autorités restent discrètes sur les circonstances, mais des sources évoquent le vol de câbles de signalisation.
Un scénario similaire à un précédent incident en 2022 où 60 mètres de câbles avaient été dérobés près de Yeumbeul. Mountaga SY, directeur de l’APIX à l’époque, avait alors qualifié ces actes de « criminels », dénonçant un impact sur 15 000 usagers quotidiennement.
Dans leur communiqué, la SENTER et la SETER soulignent que le TER est « un patrimoine national » essentiel à la mobilité dakaroise. Elles promettent des mesures renforcées pour sécuriser les infrastructures et invitent les citoyens à « dénoncer toute activité suspecte ».
Alors que le TER, inauguré en 2021, représente un investissement de 1 300 milliards FCFA de tels actes contribuent à sa dégradation.
Walf