
La création du parti politique «Sénégal Bi Gnou Bokk» par Barthélémy Toye DIAS suscite une vive polémique. L’ancien maire de Dakar fait face à de lourdes accusations de plagiat, en raison de la proximité de son appellation avec celle de la plateforme politique «Avenir Senegaal Bi Ñu Bëgg», fondée en 2015 par le Dr Cheikh Tidiane DIEYE.
Dans un communiqué au ton incisif, la cellule des cadres d’Avenir Senegaal Bi Ñu Bëgg fustige un «manque de rigueur et de créativité», dénonçant un «quasi-plagiat grossier». Elle considère ce choix de nom comme une tentative maladroite d’exister politiquement après la défaite de Barthélémy DIAS aux législatives de novembre 2024.
Selon les signataires du communiqué, le nom du nouveau parti est une mauvaise reprise de leur propre appellation, altérée dans son orthographe wolof. «Si Barthélémy DIAS veut démarrer sa propre politique, sans parrain ni tuteur, avec un tel manque d’inspiration, on peut se demander s’il ira loin», tacle encore le texte.
La plateforme Avenir Senegaal Bi Ñu Bëgg, qui compte des élus locaux et a soutenu la coalition victorieuse à la présidentielle de mars 2024, estime que l’initiative de DIAS s’appuie illégitimement sur son capital politique. Elle appelle le leader à revoir sa copie pour véritablement incarner une vision politique originale, sans s’appuyer sur une référence existante.
Walf
Dans un communiqué au ton incisif, la cellule des cadres d’Avenir Senegaal Bi Ñu Bëgg fustige un «manque de rigueur et de créativité», dénonçant un «quasi-plagiat grossier». Elle considère ce choix de nom comme une tentative maladroite d’exister politiquement après la défaite de Barthélémy DIAS aux législatives de novembre 2024.
Selon les signataires du communiqué, le nom du nouveau parti est une mauvaise reprise de leur propre appellation, altérée dans son orthographe wolof. «Si Barthélémy DIAS veut démarrer sa propre politique, sans parrain ni tuteur, avec un tel manque d’inspiration, on peut se demander s’il ira loin», tacle encore le texte.
La plateforme Avenir Senegaal Bi Ñu Bëgg, qui compte des élus locaux et a soutenu la coalition victorieuse à la présidentielle de mars 2024, estime que l’initiative de DIAS s’appuie illégitimement sur son capital politique. Elle appelle le leader à revoir sa copie pour véritablement incarner une vision politique originale, sans s’appuyer sur une référence existante.
Walf