Que s'est-il passé pour qu'IAM soit vendu? Mystère et boule de gomme! Du moins, pour le moment. Car, dakarposte, qui a appris la nouvelle de ses perspicaces réseaux de renseignements, est en mesure de révéler que Moustapha Guirassy, le patron non moins fondateur l'a, discrètement cédé à un groupe d'entrepreneurs Français. Quid des raisons? Nos langues au chat.
Cependant, les raisons de la vente peuvent être diverses : retraite, lassitude, difficultés financières, envie de retrouver un autre business plus stable…
En tous les cas, les entreprises françaises, qui représentent l'essentiel de l'activité économique du secteur formel en Zone franc, gagnent, pourrait-on dire, du terrain dans l'environnement des affaires du "pays de la Téranga" (le Sénégal).
La présence des entreprises françaises, en dépit d'une crise qui a duré plus de dix ans (depuis la fin des années 80), s'est maintenue à un niveau élevé tant au niveau des sociétés filiales d'entreprises françaises que des établissements de droit local contrôlés par des ressortissants français installés dans la zone.
Les intérêts français sont présents dans de très nombreux domaines d'activité, constituant un vecteur essentiel de développement économique et d'emploi.
Traditionnellement, s'agissant de filiales de grands groupes, les intérêts français dans les PAZF sont notamment bien représentés dans les secteurs des infrastructures tels que : l'énergie (Total, Edf, Norelec, Alstom),
le BTP (Bouygues, Colas, Spie, Fougerolles, Dumez, Sogea, Razel, Jean Lefèvre),
la grande distribution (Cfao),
le transport (Air France),
les services (Accor, BnpParibas, Société Générale, Crédit Lyonnais, groupe Bolloré, Véolia, Ondeo, Saur ... ),
l'agro-industrie (Cfdt, Saupiquet, Auchan, brasseries du groupe Castel, Cemoi, Lesaffre, ... ),
l'industrie (Lafarge, Air Liquide, Vicat, Dagris),
les télécommunications (France Télécom, Alcatel, Satom, ... ).
Les parts de marché françaises reflètent la prédominance de ses entreprises dans l'activité économique des pays de la zone, particulièrement au Sénégal.
Affaire à suivre...
Cependant, les raisons de la vente peuvent être diverses : retraite, lassitude, difficultés financières, envie de retrouver un autre business plus stable…
En tous les cas, les entreprises françaises, qui représentent l'essentiel de l'activité économique du secteur formel en Zone franc, gagnent, pourrait-on dire, du terrain dans l'environnement des affaires du "pays de la Téranga" (le Sénégal).
La présence des entreprises françaises, en dépit d'une crise qui a duré plus de dix ans (depuis la fin des années 80), s'est maintenue à un niveau élevé tant au niveau des sociétés filiales d'entreprises françaises que des établissements de droit local contrôlés par des ressortissants français installés dans la zone.
Les intérêts français sont présents dans de très nombreux domaines d'activité, constituant un vecteur essentiel de développement économique et d'emploi.
Traditionnellement, s'agissant de filiales de grands groupes, les intérêts français dans les PAZF sont notamment bien représentés dans les secteurs des infrastructures tels que : l'énergie (Total, Edf, Norelec, Alstom),
le BTP (Bouygues, Colas, Spie, Fougerolles, Dumez, Sogea, Razel, Jean Lefèvre),
la grande distribution (Cfao),
le transport (Air France),
les services (Accor, BnpParibas, Société Générale, Crédit Lyonnais, groupe Bolloré, Véolia, Ondeo, Saur ... ),
l'agro-industrie (Cfdt, Saupiquet, Auchan, brasseries du groupe Castel, Cemoi, Lesaffre, ... ),
l'industrie (Lafarge, Air Liquide, Vicat, Dagris),
les télécommunications (France Télécom, Alcatel, Satom, ... ).
Les parts de marché françaises reflètent la prédominance de ses entreprises dans l'activité économique des pays de la zone, particulièrement au Sénégal.
Affaire à suivre...